Ces animations menées à l’ARC-Bruxelles ont été mises en place en 2015 avec des bénéficiaires d’associations – DoucheFLUX, les Petits riens et la maison de quartier Buanderie – œuvrant pour des personnes en situation précaire.
Il s’est poursuivi en 2016 puis 2017 avec le groupe émanant de la maison de quartier Buanderie. Son public est maintenant centré sur des dames issues de l’immigration. Il vise donc à réduire l’impact genré de la fracture.
Le programme des ateliers est co-construit avec les participants. Chaque séance débute sur une situation problématique de la vie quotidienne rencontrée par les membres des ateliers et résolue en groupe.
Les séances se focalisent sur des questions qui dépassent les questions techniques liées au monde numérique telles que l’identité religieuse, l’accès à des activités culturelles, le contrôle parental des adolescents sur internet, les démarches administratives etc.
